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Henri Calet (1904–1956)

Autor(a) de Le tout sur le tout

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Includes the name: Calet H

Obras por Henri Calet

Le tout sur le tout (1948) — Autor — 29 exemplares
La belle lurette (1935) — Autor — 26 exemplares
Monsieur Paul (1950) — Autor — 15 exemplares
Le bouquet (1945) — Autor — 11 exemplares
Poussières de la route (2002) 10 exemplares
Les grandes largeurs: Balades parisiennes (1951) — Autor — 9 exemplares
De ma lucarne: Chroniques (2000) — Autor — 9 exemplares
Les deux bouts (2016) 8 exemplares
Contre l'oubli (1956) — Autor — 8 exemplares
Rêver à la Suisse (1984) 8 exemplares
Un grand voyage (1952) — Autor — 7 exemplares
Le croquant indiscret (1956) 7 exemplares
L'Italie à la paresseuse : Journal de voyage (1950) — Autor — 7 exemplares
Peau d'ours (1958) — Autor — 6 exemplares
Le Mérinos (1937) — Autor — 5 exemplares
Jeunesses (2003) 4 exemplares
Trente à quarante (1947) — Autor — 4 exemplares
La Fièvre des polders (1939) — Autor — 4 exemplares
Acteur et témoin (1959) — Autor — 3 exemplares
Les Murs de Fresnes (1993) 3 exemplares
Cinq sorties de Paris (1988) 3 exemplares
Correspondance 1938-1955 (2013) 2 exemplares
Mes impressions d'Afrique (2019) 1 exemplar

Etiquetado

Conhecimento Comum

Nome canónico
Calet, Henri
Nome legal
Barthelmess, Raymond-Théodore
Data de nascimento
1904-03-03
Data de falecimento
1956-07-14
Localização do túmulo
Cimetière communal, Vence, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, France
Sexo
male
País (no mapa)
France
Local de nascimento
Paris, Île-de-France, France
Local de falecimento
Vence, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, France
Educação
Collège de la rue des Coteaux, Bruxelles
Institut Steyaert, Anderlecht, Belgique
Ecole moyenne, Saint-Josse-ten-Noode, Belgique
Ocupações
journalist
novelist
Relações
Martin du Gard, Christiane (Compagne, 19 53 | 19 56)
Organizações
Le Figaro littéraire (Journaliste, 19 50 | )
Combat , Revue (Journaliste, 19 45 | )
La Lumière, Journal (Correcteur, 19 36 | 19 40)
Usine d’Andancette dans la Drôme (Directeur adjoint, 19 42 | 19 44)
Usine de céramique électrotechnique (Employé, 19 35 | 19 40)
Société Électro-Câble, Paris (Aide-comptable, 19 25 | 19 30)

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« C’est sur la peau de mon cœur que l’on trouverait des rides. Je suis déjà un peu parti, absent. Faites comme si je n’étais pas là. Ma voix ne porte plus très loin. Mourir sans savoir ce qu’est la mort, ni la vie. Il faut se quitter déjà ? Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes. »

Membros

Críticas

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Calet-Acteur-et-temoin/221007

> J'ai aimé le côté "documentaire" (ça se passe dans la région parisienne des années 50), l'écriture efficace, le ton parfois décalé, et cet humour en filigrane qui n'épargne personne, même pas l'auteur lui-même. Un livre à offrir ou recommander.
Danieljean (Babelio)
… (mais)
 
Assinalado
Joop-le-philosophe | Feb 12, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Calet-Huit-quartiers-de-roture/880835

> HUIT QUARTIERS DE ROTURE (Petit guide des XIX et XXe arrondissements de Paris), par Henri Calet (Le Dilettante, 2015, Relié, 221 pages). — Henri Calet, on le sait, n’est pas un touriste de tout repos. Baguenaudeur caustique, adepte d’un tourisme désenchanté et d’une flânerie sans illusions, il ne se laisse pas faire par son sujet, menant la vie dure à ses villégiatures. La Suisse dite sublime et l’Italie réputée éternelle l’ont appris à leurs dépens. Avec ses Huit quartiers (urbains) de roture, petite randonnée intime et érudite au cœur historique des XIXe et XXe arrondissements de Paris, pièces ternes du puzzle parisien, Calet nous emmène là où sont ses racines : Mon père y est né, mon grand-père y est mort. J’y ai vécu. Et je viens d’en faire le tour. J’ai respiré son air et son parfum ; ses couleurs sont les miennes. Avec lui, on s’égare dans des rues infortunées, on pousse, à la recherche d’un vieux cimetière juif, des portes sans lendemain, on fouille la mémoire mortuaire des façades, on monte et on descend l’échelle du temps pour décrocher les souvenirs, les présences et les faits pendus au gibet de l’histoire : Non, rien ne porte à la joie ni au lyrisme. L’Histoire, elle-même, ne parle que de défaites, de saccages, de capitulations. Tel un enfant gâté de la catastrophe, Calet compte les vivants, hume le souvenir des morts, se retrouve et nous perd au cœur des quartiers de la Villette, du Père-Lachaise, de Ménilmontant et de Charonne pour un jeu de piste sans trésor et un pèlerinage aux sources de sa mémoire parisienne : Ville à part (…) sans Seine ni rivière, que les étrangers ne vont pas voir, où il n’y a rien à voir, ville sans palais ni cathédrales, sans monuments et presque sans souvenirs, ville sans parure, ville usinière, populacière, où l’on peut tout juste exister, dans le sens de ne pas mourir. Ces Huit quartiers de roture sont restés inédits. Objet d’une version radiophonique, Le Dilettante en propose des extraits dans un CD, l’occasion d’entendre notre cher Henri Calet, le tout savamment édité et présenté par Jean-Pierre Baril.
Johnny Gimenez (Culturebox)
… (mais)
 
Assinalado
Joop-le-philosophe | Dec 29, 2018 |
Ça commence par une charmante dédicace : "À George Henein, ce petit cadeau pour gage d'une amitié qui s'en passe".
Ah! le beau livre que voici! Si on osait, on exigerait des auteurs de talent qu'ils livrent leurs souvenirs personnels. Rien de tel pour délier les langues et libérer la plume, surtout quand on a la verve poétique de Henri Calet. Pourquoi n'est-il pas plus lu? Le tout sur le tout, témoignage du Paris intime de l'auteur au cours de la première partie du XXeme siècle serait-il jugé digne de tomber dans l'oubli par ses accents nostalgiques, sa description d'une ville et de ses personnages qui n'ont plus grand-chose à voir avec ceux d'aujourd'hui? Là n'est certainement pas la véritable raison puisqu'on aurait cessé alors de célébrer Doisneau.
Cela tient peut-être plutôt à l'ironie mordante qui marque profondément le livre de son empreinte (ex : "On s'était mis à tuer en grand, en toute impunité, mais sans plus aucun mystère") à la fois en gage de retenue des émotions de l'auteur et d'expression de l'absurdité de l'évolution de l'histoire, faite de guerres à répétition et de plus en plus "efficaces".
Le Paris dépeint par Henri Calet est surtout celui du XIVème arrondissement où a vécu l'auteur. L'occasion pour l'auteur de se livrer à une déclaration d'amour vibrante et délicate, follement poétique, à l'intention de la ville de Paris. Le livre est ainsi parcouru de passages de toute beauté qu'on a irrésistiblement envie de lire à voix haute.

Jugez plutôt :
"Je connais cette ville à fond; je pourrais la démonter pierre à pierre et la rebâtir ailleurs. C'est ce que j'ai fait lorsque j'ai dû m'éloigner d'elle.
Paris des douze mois de l'année, Paris changeant, Paris des quatre saisons, Paris de poche, Paris de tous les jours, Paris à vol d'oiseau, Paris dans un rectangle de verre à vitre, Paris du matin, Paris la nuit, Paris à la lune, Paris en chanson, Paris à l'arc-en-ciel, Paris aux cent mille pipes, Paris bleu de gel, Paris en rose, Paris transparent, Paris qui sue, Paris à la neige Paris en voile d'épousée, Paris en toilette du soir, Paris paré de ses étoiles, Paris en petite robe de semaine, Paris emmitouflé dans ses écharpes de brume, Paris pauvre, abandonné, inhabité, obscurci, bombardé, Paris riche, Paris bannières au vent...
Je me suis coiffé de cette ville, elle me botte parfaitement, elle est à ma taille. Je l'ai vue sous toute ses coutures. C'est une intimité sans plus aucun secret. Paris en chemise, Paris à poils. Je m'en fais un tour de cou. C'est entre nous à la vie à la mort (la vie pour elle, la mort pour moi)."

Il faut lire et relire Henri Calet.
… (mais)
½
 
Assinalado
biche1968 | Nov 22, 2015 |
Je pense que j’ai eu tort de te faire venir en ce monde. Tu verras, ce n’est pas très drôle, quoi qu’on en dise. Te voilà, par ma faute, condamné à la peine de vie. Mais rassure-toi, ce n’est pas si long qu’il y paraît : tout a une fin. (p. 60, Chapitre 2, “2 Septembre 1949”).


Ai-je lu le même auteur à propos duquel j’avais vu de belles critiques, ai-je lu le même livre que celui qui a écrit la quatrième de couverture ? Je finis par en douter. Je m’attendais à un livre d’une tristesse poétique, qui saurait faire du sublime avec du quotidien. Non, je n’ai trouvé que du sordide et je n’ai pu me forcer au-delà de la moitié du livre. Quel gâchis pour un auteur que je croyais injustement oublié, mais j’ai maintenant changé d’avis…
Ce livre est une longue lettre qu’un père adresse à son fils qui n’a que quelques mois, pour lui laisser un témoignage sur les conditions de sa venue au monde, en espérant qu’il les lira quand il sera aussi âgé que son père et pourra donc le comprendre. Pris par le démon de midi, ce père a en effet quitté sa femme pour une jeunette qui ne la valait pas, qu’il n’aimait pas et avec qui les relations ont fini par dégénérer au-delà de l’acceptable.
Quelle littérature glauque et sordide que celle où un homme étale ses turpitudes sexuelles à son fils. Cette mise en scène de ces confidences m’a mise mal à l’aise pendant toute ma lecture. Je n’ai rien contre les romans qui décrivent des vies ternes ou des vies ratées, mais pas décrites sans relief et avec une sorte de complaisance qui veut faire croire que c’est la norme et que donc cela excuse tout.
Au vu d’autres avis de lecture, je me dis que je n’ai rien compris à ce livre, qui serait l’un des chefs-d’œuvre de Calet. Si c’est le cas, j’espère que des lecteurs mieux disposés que moi ne se laisseront pas rebuter par ces lignes, mais pour moi c’est suffisant, et c’est un auteur que je préfère oublier.
… (mais)
 
Assinalado
raton-liseur | 1 outra crítica | Jul 21, 2012 |

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