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Giles Carwyn

Autor(a) de Heir of Autumn

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Obras por Giles Carwyn

Heir of Autumn (2006) 105 exemplares
Mistress of Winter (2007) 46 exemplares
Queen of Oblivion (2008) 23 exemplares

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male

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After just a few pages, the tone is set. The setting of the trilogy is quickly described and reminds both Middle Ages and Antiquity. As said above few details are spilled over the world where the scene is taking place and you feel right away that the focus is going to be on both characters and storyline. Ohndarien: a gigantic city protected by a great wall and headed by a Council whose power is hereditary but conditioned by a terrible test. Ohndarien and his hostile neighbours, its melting-pot, its wealth and its unstable power.

The novel mixes very well political plots, romance, mysticism, adventure and action. I loved such diversity as it makes the story a little complex and surprising at times for the reader. Despite this apparent mess, the book is actually very easy to read and dive into for a simple reason: it has a strong story. It is quite obvious that the authors have worked the scenario inside out and wrapped it up in an efficient way (it is actually not far from being a turn-pager).

There is a layer of mystery and mysticism which spices things up. Former Council members have disappeared, a child is kept asleep... I won't say more but this element is in my view very well used and strengthening the story.

Although the pitch sounds quite complex, it is well served by a very simple and smooth writing. This is actually High Fantasy written as a thriller. You actually feel the authors focus on the core of the story which is a good point in my book.

A few regrets? First of all Heir of Autumn, just as a lot of American fantasy lacks provocative angles and is overly clean in my view: characters look very much like super heroes, love is the apogee of a human life, etc. Nothing really bad but everything seemed a bit too over the top to my own taste. Secondly I had a hard time figuring out the role of sex in the book. Not that I've been shocked in any way, but I just could not see how sex was supporting the story. I guess it's another trend in fantasy we have to live with.

Bingo! Un message du facteur dans ma boîte aux lettres et quelques heures plus tard mes doigts grassouillets palpent le premier tome d'une trilogie qui, au vu du quatrième de couverture, s'annonce épique.
Le bouquin est écrit à quatre mains par deux illustres inconnus (inconnus par moi en tout cas) sur lesquels je me suis empressé de faire une recherche. Nada, de la bleusaille visiblement. Tant mieux, je partirai sans aucun a priori.

Au bout de quelques pages le ton est donné. L'univers est très vite posé et oscille entre l'antique et le moyenâgeux tout en fleurant bon l'Orient. Il est décrit dans les (très) grandes lignes et on sent bien que les personnages et l'intrigue se taillent la part du lion. Ohndarien: une ville gigantesque entourée de murailles imprenables et dirigée par un Conseil dont la succession est héréditaire mais conditionnée par le passage d'une épreuve terrible. Ohndarien, ses voisins hostiles mais toujours repoussés, son multi-culturalisme, sa prospérité mais surtout son pouvoir déstabilisé.

Le roman mêle avec un certain brio complots politiques, romance, mysticisme, aventure avec quand même un peu d'action pour les warriors que vous êtes. Ce côté "à boire et à manger" m'a paru très plaisant parce que le récit est plus complexe qu'il n'y paraît et que le lecteur se laisse régulièrement désarçonner (en douceur) au fil de la lecture. Mais comment les auteurs font-ils pour développer un roman avec autant de facettes mais au final parfaitement digeste? Réponse: l'histoire. La mécanique du scénario est très bien maîtrisée, avec rebondissements et révélations qui tombent toujours à point nommé et vous amènent à lancer le fameux "allez, encore un chapitre" plutôt deux fois qu'une.

Je mentionnerais également la couche de mystère et de mysticisme qui recouvre l'ensemble. Disparition d'anciens membres du Conseil, un enfant qui ne se réveille pas... Je n'en dirai pas plus mais c'est de mon point de vue un excellent ressort dramatique utilisé avec ce qu'il faut de parcimonie et tire le roman vers le haut.

Si le pitch est complexe et multi-dimensionnel, l'écriture est en revanche très très fluide. Un style simple et efficace - où les dialogues sont légions - qui sert une intrigue palpitante sans être retorse. En fait c'est de la High Fantasy écrite comme un thriller, même si la comparaison se limite essentiellement au style. On sent les auteurs décomplexés et laissant de côté tous les artifices inutiles, et ça j'aime.

Des regrets? Pas de gros regret mais des remarques plutôt. Tout d'abord sur le plan esthétique l'Héritier de l'Automne a la coquetterie qu'on trouve souvent dans la fantasy ricaine. Les personnages principaux donnent l'impression d'être tous des êtres d'exception en puissance: cheveux au vent, pectoraux bien dessinés et seins fermes qui pointent vers les cieux. Rien de réellement pénible mais de ce côté-ci de l'Atlantique ça peut faire sourire.
Ensuite j'avoue que je continue de m'interroger sur la pertinence de saupoudrer l'histoire de sexe. Rassurez-vous ça n'a pas choqué le gaillard que je suis mais je n'ai pas trouvé que ça bonnifiait toujours le récit. La sensualité de certaines parges développe et prolonge bien le thème de la romance, qui tient une place relativement importante. Par-contre dans d'autres cas on a un peu le sentiment que cela est un peu gratuit. Alors? Facteur distinctif? Argument marketing? Lecteur prude ou insensible? Faîtes-vous votre propre avis!

Conclusion?
Coeur de Gemme ne semble pas être de ces oeuvres qui renouvellent ou transfigurent un genre, mais là n'est pas l'ambition. Ce premier tome annonce une fresque héroïque où moments de bravoure et d'abandon se heurtent aux règles cruelles des jeux de pouvoir. Le pur plaisir de lire une bonne histoire où les auteurs sortent le grand jeu pour vous embarquer dans presque 700 pages que vous lirez à toute vitesse.
… (mais)
½
 
Assinalado
corporate_clone | 1 outra crítica | Jul 7, 2010 |
Pre09:
Rare feat: I didn't finish this book it was so bad. I made it about 200 pages (Until after lead was exiled and toured the new city.)
This was written by two guys, and it really shows. Rape and domination galore.

Characters: I didn't like any of them. Well, the naked chick was okay, but she only got about 1 page in 20 and most of the time she was getting raped and not remembering it. The lead boy was so drop dead boring I had to stop. The 'queen' was okay, but for all the 'iron' they talked about her having her actions were weak willed.
Plot: Almost there, but not. A city with an odd government tries to survive. Not really what I like to read about. Without the right characters to drive it you get crap.
Style: Perfectly okay. Nothing to really complain about. Nothing to brag about. Pretty much just perfectly okay fantasy.
… (mais)
½
 
Assinalado
Isamoor | 1 outra crítica | Jul 8, 2009 |

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