Página InicialGruposDiscussãoMaisZeitgeist
Pesquisar O Sítio Web
Este sítio web usa «cookies» para fornecer os seus serviços, para melhorar o desempenho, para analítica e (se não estiver autenticado) para publicidade. Ao usar o LibraryThing está a reconhecer que leu e compreende os nossos Termos de Serviço e Política de Privacidade. A sua utilização deste sítio e serviços está sujeita a essas políticas e termos.

Resultados dos Livros Google

Carregue numa fotografia para ir para os Livros Google.

A carregar...

The Seventh Day: A Novel (2013)

por Yu Hua

MembrosCríticasPopularidadeAvaliação médiaMenções
1457188,055 (3.92)4
Yang Fei was born on a moving train. Lost by his mother, adopted by a young switchman, raised with simplicity and love, he is utterly unprepared for the tempestuous changes that await him and his country. As a young man, he searches for a place to belong in a nation that is ceaselessly reinventing itself, but he remains on the edges of society. At age forty-one, he meets an accidental and unceremonious death. Lacking the money for a burial plot, he must roam the afterworld aimlessly, without rest. Over the course of seven days, he encounters the souls of the people he's lost.… (mais)
Nenhum(a)
A carregar...

Adira ao LibraryThing para descobrir se irá gostar deste livro.

Ainda não há conversas na Discussão sobre este livro.

» Ver também 4 menções

Mostrando 1-5 de 7 (seguinte | mostrar todos)
It was quite interesting to read The Seventh Day immediately after finishing Julian Barnes’ treatise on grief in Levels of Life. Yu Hua covers somewhat similar philosophical ground, albeit in the form of a novel.

At the start of the book, Yang Fei has died and visits the funeral parlour of the after-life. As an orphan, he has nobody to mourn him or pay for his burial, so his fate is to wander the spirit world. As he does so, he encounters people from his past, and learns more about his death, what the after-life is like and a greater understanding of his corporeal life. We learn about the lives of the people he meets in the after-life as well, notably the pretty suicide Mouse Girl.

This is a beautifully-written book with a gentle narrative, but not without some wit and humour. The story of the game-playing skeletons Li and Zhang was quite funny as were some of Yu’s dry observations on modern China.

At times the book is a little overly sentimental, but overall it is a moving and thoughtful fable about grief, loss and the great equaliser that is death.

( )
  gjky | Apr 9, 2023 |
Loved this story of a man who dies in contemporary China, but must wander about as a ghost, reconciling himself to his life and his loved ones and others that he knew when he was alive. Strange, sad, sweet, and funny. Poetic and silly. Beautiful writing and I guess the translator must have done a fine job also. I'll have to try out another of Yu Hua's books. ( )
  steve02476 | Jan 3, 2023 |
La cifra è quella tipica di questo autore che sa mescolare sapientemente, come pochi, poesia e tragedia. Questa volta immagina un soggiorno nell'aldilà di tanti personaggi, compreso il narratore, che ripercorrono la loro storia terrena, in attesa di una sepoltura che consenta l'eterno riposo. L'inferno è in terra, e non nel dopo, e ha i tratti della Cina di oggi, con il suo immenso carico di contraddizioni e di disuguaglianze. Sebbene inferiore a 'Brothers', che resta una rivelazione impareggiabile, anche questo libro lascia il segno e ha l'impronta dello scrittore di vaglia. ( )
  Marghe48 | Jan 6, 2020 |
A fascinating and engaging novel which explores aspects of contemporary Chinese society and culture. 41 year-old Yang Fei wanders a surreal and strange land, in the limbo of the unburied. Over the course of seven days he pieces together the moment of his death and meets various characters from his past as we gradually learn about his life and loves. At times moving, at others simply absurd, this is an intriguing book which, at its heart, is about love, family and finding peace and understanding. Thoroughly recommended. ( )
  Alan.M | Apr 16, 2019 |
Le roman se déroule sur sept jours, qui forment autant de chapitre. Il s’ouvre sur la mort du narrateur, âgé d’une quarantaine d’années, dans l’explosion / le feu du restaurant, dans lequel il était en train de manger. Plus exactement, on arrive juste après sa mort, quand il est rentré chez lui et qu’il se prépare pour aller au crématorium à 9h00, sa crémation étant prévue à 9h30. Il est seul et doit donc se préparer seul, et assez rapidement en plus car il est en retard. Il ne prend le temps de mettre qu’un brassard noir pour porter son deuil. Il arrive au crématorium et on découvre une certaine vision de la mort mais surtout de l’enterrement : d’un côté il y a les très riches, assis sur de luxueux fauteuils, qui portent de très beaux habits, qui discutent le prix de leur enterrement, et de l’autre il y a les autres, les gens normaux, avec des habits normaux, qui sont assis sur des chaises en plastique. Ceux-là sont déjà heureux quand leur famille a pu leur payer une sépulture. Mais comme je l’ai dit notre narrateur est seul, personne ne lui a donc payé de sépulture. Il décide de repartir du crématorium, car son âme ne peut retrouver la paix (et surtout il ne sait pas où aller). Il va donc errer pendant sept jours, découvrir un autre monde, celui d’après.

Dans les chapitres suivants, il va se remémorer son mariage, son enfance avec son père adoptif suite à une naissance rocambolesque (qui en fait pratiquement un enfant né de nul part), la pauvreté et la misère mais l’amour tout de même. Ces sept jours sont aussi l’occasion de rencontrer d’autres gens avec d’autres histoires, plus tragiques les unes que les autres et qui sont l’occasion pour l’auteur de décrire, voir dénoncer, des situations d’aujourd’hui : les mensonges d’état (parce que chez eux aussi tout va bien, parce que ce que l’on ne sait pas ne peut pas nous faire de mal), la corruption quotidienne, le pouvoir de l’argent et des marques (et la manière dont cela change une société), la destruction de maisons sans même se soucier s’il y a quelqu’un à l’intérieur, les logements de misère. Finalement, ce qui aidera notre narrateur à trouver le repos, c’est le fait d’avoir pu discuter avec son ex-femme, d’avoir eu une dernière confrontation avec elle mais surtout d’avoir pu embrasser une dernière fois son père adoptif.

Il est facile de deviner, au vu de mon résumé, que ce qui m’a énormément plu est le fait que ce roman soit un roman social mais aussi un roman qui permet de connaître un peu mieux la société chinoise (même s’il est toujours mieux d’avoir plusieurs point de vue). J’en suis sortie avec l’impression d’une société très hiérarchisée, où la dégringolade sociale peut être très rapide et sévère, mais aussi d’une société où les gens acceptent leur sort, comme s’il savait qu’il y avait autre chose de plus important (je ne sais pas quoi par contre).

Yu Hua n’écrit pas un roman désespérant. Bien au contraire, en faisant « vivre » ses personnages après leur mort, il peut envisager les deux points de vue (l’avant et l’après) et ainsi mettre une certaine solidarité entre les « morts » abandonnés, en tout cas les plus pauvres, puisque c’est eux que l’on suit dans une grande partie du roman. Cette relation entre les gens n’est que très peu mis en scène dans les moments « vivants » du roman (voire même plutôt le contraire).

L’écriture est assez dépouillée et se met entièrement au service du discours. Il n’y a pas d’effets de style, en tout cas je pense même s’il est très difficile de juger une écriture dans une langue que l’on ne connait pas. Je n’ai ainsi pas trouvé que l’on remarquait la présence de l’auteur. J’ai même eu l’impression de lire une sorte de journal intime du narrateur, comme un récit ou un témoignage. La seule faiblesse du roman (le pourquoi je ne lui ai mis que 4.5/5 sur LibraryThing), ce sont parfois les transitions, en particulier les passages entre monde des vivants et des morts. Elles semblent factices ou bien on glisse d’un monde à l’autre sans s’en rendre compte.

En conclusion, je vais continuer à découvrir Yu Hua, qui me semble pour l’instant un auteur extrêmement intéressant. ( )
  CecileB | May 29, 2016 |
Mostrando 1-5 de 7 (seguinte | mostrar todos)
sem críticas | adicionar uma crítica
Tem de autenticar-se para poder editar dados do Conhecimento Comum.
Para mais ajuda veja a página de ajuda do Conhecimento Comum.
Título canónico
Título original
Títulos alternativos
Data da publicação original
Pessoas/Personagens
Locais importantes
Acontecimentos importantes
Filmes relacionados
Epígrafe
Dedicatória
Primeiras palavras
Citações
Últimas palavras
Nota de desambiguação
Editores da Editora
Autores de citações elogiosas (normalmente na contracapa do livro)
Língua original
DDC/MDS canónico
LCC Canónico

Referências a esta obra em recursos externos.

Wikipédia em inglês (1)

Yang Fei was born on a moving train. Lost by his mother, adopted by a young switchman, raised with simplicity and love, he is utterly unprepared for the tempestuous changes that await him and his country. As a young man, he searches for a place to belong in a nation that is ceaselessly reinventing itself, but he remains on the edges of society. At age forty-one, he meets an accidental and unceremonious death. Lacking the money for a burial plot, he must roam the afterworld aimlessly, without rest. Over the course of seven days, he encounters the souls of the people he's lost.

Não foram encontradas descrições de bibliotecas.

Descrição do livro
Resumo Haiku

Current Discussions

Nenhum(a)

Capas populares

Ligações Rápidas

Avaliação

Média: (3.92)
0.5
1
1.5
2 1
2.5
3 5
3.5 1
4 17
4.5 4
5 3

É você?

Torne-se num Autor LibraryThing.

 

Acerca | Contacto | LibraryThing.com | Privacidade/Termos | Ajuda/Perguntas Frequentes | Blogue | Loja | APIs | TinyCat | Bibliotecas Legadas | Primeiros Críticos | Conhecimento Comum | 204,381,134 livros! | Barra de topo: Sempre visível