This book has not aged well at all. When it came out in the 50s it probably captured people attention but feels very old-fashioned today. Apart from the fact that everything feels terribly dated the real problem of the book is the racist theme (superior races occupying and guiding inferior races in a kind of a futuristic colonial setup) that is disturbing to say the least and definitely not what I was expecting from a future-looking author. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Clarke-Les-enfants-dIcare/9529
> Critique Livre › littérature › les-enfants-dicare-arthur-c-clarke

> LES ENFANTS D'ICARE, de Arthur C. Clarke, J'ai lu. — Enfin en livre de poche, la traduction d'un des plus célèbres romans de Clarke (scénariste de "2001"), roman qui fut un succès de l'underground des années '60. Le titre anglais est meilleur: "la fin de l'enfance", c'est à dire aussi son but. Un grand roman dont la finale demeure légendaire.
—Mainmise, 1978, avril, (p. 40)

> LES ENFANTS D'ICARE OU LA FIN DE L’ENFANCE, de Arthur C. Clarke, J'ai lu. — La planète est au bord d'un conflit généralisé. Arrivent les extra-terrestres, les suzerains, qui sans se montrer la face, réintroduisent l'harmonie et le bon fonctionnement sur la planète. Tout va bien, finalement, mais personne ne sait de quoi ont l'air ces Suzerains. Eux-mêmes expliquent aux humains qu'ils attendront cent ans avant de se montrer parce que les humains ne sont pas encore prêts à les voir et qu'ils freakeraient. Un siècle passe. Ils descendent et se montrent. Ils ressemblent aux définitions classiques du diable : cornes, queues, etc. Sauf qu'ils sont l'envers de notre définition morale du diable. Ils expliquent alors aux humains qu'ils ne sont pas LES êtres supérieurs, mais qu'ils ne font qu'appliquer les ordres de l'intelligence supérieure qui les a envoyé pour rétablir l'ordre sur la planète. De plus, ils ont comme mission d’emmener avec eux éventuellement les enfants des humains qui depuis une génération sont devenus des mutants. Ces derniers, tout jeunes, ont des pouvoirs assez incroyables et leurs parents ne les reconnaissent plus. C’est la fin de la race humaine. Les Suzerains sont venus chercher les "derniers fruits" de la race, qui sont l'aboutissement de toute l'évolution terrestre. On leur demande pourquoi, et les Suzerains répondent qu'eux-mêmes ne savent pas le but de leur mission, que seule l'intelligence supérieure sait ce qu'elle veut faire avec ces enfants-mutants. Eux, ne font que remplir les ordres de leur mission. On vide l'Amérique du Nord de ses habitants et on y aménage les mutants. Ils y développent leurs pouvoirs. Ils font basculer l'axe de la Terre et font tournoyer la lune plus vite que normalement. Les parents se résignent, Un jour, les enfants s'élèvent dans l'atmosphère dans une pure colonne d'énergie…
—Mainmise, 1973, décembre, (p. 68)

Not sure how I feel about this one yet! It really captivated me at moments but I am not sure if the total delivery worked for me.

(1953)In the near future, enormous silver spaceships appear without warning over mankind's largest cities. They belong to the Overlords, an alien race far superior to humanity in technological development-and their purpose is to dominate the Earth. Their demands, however, are surprisingly beneficial-end war, poverty, and cruelty. Their presence, rather than signaling the end of humanity, ushers in a golden age-or so it seems.But it comes at a price. Without conflict, humanity ceases to work toward creative achievement, and culture stagnates. And as the years pass, it becomes more and more clear that the Overlords have a hidden agenda for the evolution of the human race-that may not be as beneficial as it seems.Originally published in 1953, Childhood's End is Clarke's first successful novel-and is considered a classic of science fiction literature. Its dominating theme of transcendent evolution appears in many of Clarke's later works, including the Space Odyssey series. In 2004, the book was nominated for the Retro Hugo Award for Best Novel.

A fascinating book, with an ending that was completely unexpected. The 2nd half of the book is better than the first. I won’t spoil it, but the last act turned this from a three-star to a four-star experience for me.

It’s dated, and lacks any meaningful female characters. Infused with the sensibilities of the time in which it was written, it’s still worth reading. ( )