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Jean-Paul DuboisCríticas

Autor(a) de A French Life

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Críticas

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Paul Hansen, a former apartment-building supervisor, is sharing a cell in a Montreal prison with the notoriously scary Hell's Angels gang-leader Patrick Horton. We're not told the nature of Hansen's offence until the end of the book, but he's clearly quite a different type from his cellmate, and a lot of the interest of the book is in watching the development of a friendship between the two men. Meanwhile, Hansen delves into his memory and looks back at those who mattered to him: his French mother, who ran an independent cinema in Toulouse; his Danish father, protestant pastor and descendant of a long line of Skagen fishermen; his wife Winona, an Irish-Algonquin bush pilot; his friend Kieran Read, an insurance adjuster whose job is to find out bad things about deceased people; and his dog Nouk. All of them existing at different angles to the universe.

There's a lot of information here. We learn a good deal about French cinema of the fifties and sixties, Harley-Davidsons and eccentric European cars, about flying the DHC-2 Beaver, the maintenance of lawns and swimming-pools, prison food, asbestos mining, Skagen sand-dunes, organ music, casinos and race-courses, and much else. And it's not always easy to see what it all adds up to, or how it maps onto the inner lives of the characters. In the end, I think it was a kind of French/Canadian take on Nevil Shute's Trustee from the toolroom, a novel about a man who seems to be fully wrapped up in the mechanical world, but who turns out to have a limit to the amount of senseless destruction of human happiness he can tolerate.
 
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thorold | 7 outras críticas | Dec 1, 2022 |
un bon roman, une histoire originale
 
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fortipichon | 2 outras críticas | Oct 17, 2021 |
Goncourt 2019, histoire d'un jeune homme qui n'a pas de chance. Le livre raconte sa vie en prison et sa vie d'avant, ordinaire, au service des autres dans travail de factotum dans un immeuble. livre original par la palette des personnages toujours étonnant chez JP Dubois.
 
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fortipichon | 7 outras críticas | Oct 17, 2021 |
PREMIO GONCOURT 2019. El premio literario más importante de Francia.Paul Hansen lleva dos años cumpliendo condena en la prisión provincial de Montreal. Comparte celda con Horton, un Ángel del Infierno encarcelado por asesinato.Rebobinemos: Hansen es el encargado del Excelsior, un edificio residencial donde ejerce sus talentos de conserje, vigilante y factótum y, lo que es más, repara almas y consuela al afligido. Cuando no está ayudando a los vecinos del Excelsior o realizando tareas de mantenimiento de las instalaciones, pasa el tiempo con Winona, su compañera, en cuyo aeroplano suben juntos el cielo y vuelan por encima de las nubes. Pero las cosas no tardan en cambiar. Al Excelsior llega un nuevo gerente y, con él, los conflictos. Hasta que sucede lo inevitable.
 
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biblilumberri | 7 outras críticas | Dec 28, 2020 |
Paul Hansen lleva dos años cumpliendo condena en la prisión provincial de Montreal. Comparte celda con Horton, un Ángel del Infierno encarcelado por asesinato.

Rebobinemos: Hansen es el encargado del Excelsior, un edificio residencial donde ejerce sus talentos de conserje, vigilante y factótum y, lo que es más, repara almas y consuela al afligido.

Cuando no está ayudando a los vecinos del Excelsior o realizando tareas de mantenimiento de las instalaciones, pasa el tiempo con Winona, su compañera, en cuyo aeroplano suben juntos el cielo y vuelan por encima de las nubes.

Pero las cosas no tardan en cambiar. Al Excelsior llega un nuevo gerente y, con él, los conflictos. Hasta que sucede lo inevitable.
Premio Goncourt 2019
 
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bibliotecayamaguchi | 7 outras críticas | Oct 19, 2020 |
Un libro hermoso, la historia de vida, que nos revela a un escritor al que impulsan un agudo sentido de la amistad y una sublevación instintiva contra cualquier forma de injusticia.
 
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pedrolopez | 7 outras críticas | Oct 6, 2020 |
Depuis deux ans, Paul Hansen purge sa peine dans la prison provinciale de Montréal, où il partage une cellule avec Horton, un Hells Angel incarcéré pour meurtre. La relation improbable - décrite avec beaucoup de sensibilité et d'humanité - qu'il noue malgré lui avec le truculent Horton est vraiment très drôle. Mention spéciale aux dialogues. De cet "homme et demi" (par sa corpulence qui occupe une bonne partie de la cellule exiguë), aux sorties à l'emporte-pièce et à la philosophie de comptoir, l'auteur en fait un personnage particulièrement attachant.

Depuis sa cellule, le narrateur convoque les fantômes du souvenir : son père pasteur qui a perdu la foi, sa mère soixante-huitarde qui s'est battue pour que soit diffusé un film porno dans son petit cinéma d'art et d'essai, son épouse Wimona tant aimée, pilote d'un aéroplane.

Pendant 20 ans, Paul a été surintendant d'une résidence, homme à tout faire, gardien d'immeuble. Il accomplissait son travail avec une grande bienveillance, toujours prêt à venir en aide aux résidents, notamment aux vieilles femmes en détresse qui y vivaient seules. Jusqu'au jour où tout a basculé et ce n'est que très tardivement que le lecteur découvre la raison de l'incarcération de Paul.

La description de la nouvelle gestion de l'immeuble en copropriété est extraordinairement bien vue, au point de se hisser en métaphore de notre monde actuel. Il ne faut pas grand-chose pour que tout se dérègle dans un microcosme comme un immeuble : il suffit de l'arrivée d'un gestionnaire manipulateur et autoritaire, obsédé par les marges d'économie, pour que la douceur de vivre en communauté disparaisse et soit remplacée par un monde arbitraire, bureaucratique et quasi totalitaire.

Le roman, à la fois drôle (l'humour comme arme à la dureté de la vie) et profondément mélancolique, offre le très beau portrait d'un homme certes voué à la solitude et à la perte mais ayant refusé de se soumettre à une loi qui n'est pas la sienne. Derrière les barreaux, il demeure ainsi plus libre que la plupart de ceux qui ont la chance d'aller et venir.

Par sa tendresse, son humanité et sa droiture, le personnage de Paul Hansen rassure en dépit de son histoire tragique et de sa chute.

Un roman très abouti, à la portée bien plus large que les autres livres que j'ai lus de cet auteur.½
 
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biche1968 | 7 outras críticas | Mar 21, 2020 |
(Prix Goncourt 2019) Depuis sa cellule de prison, Paul évoque sa vie passée : sa mère gérante d’un cinéma d’art et d’essai, son père pasteur danois, ses années en tant que concierge, la femme de sa vie; et sa vie actuelle : la routine de la prison, son ”colocataire” et ses petites manies. Un roman tout en humanité et en fraternité, à l’humour fin, et aux habiles références culturelles. Un éloge à la justice, à la bienveillance et à l’indépendance d’esprit.½
 
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Steph. | 7 outras críticas | Dec 30, 2019 |
Sombre, très sombre, comme souvent chez J.P Dubois.... mais là, c'est son record je crois ! très belle et profonde analyse des sentiments du héros, porteur d'une maladie qui le mènera rapidement à la décrépitude et à la mort, avec son lot de souffrances... relations bizarres et morbides avec les différents hommes que le héros rencontre, toujours à la recherche de sa femme à qui il aimerait parler avant de mourir. Mais tout s'en mêle : des personnages peu recommandables aux tempêtes de neige. Enfin, il semble que Paul puisse reprendre sa route et retrouver sa femme, saut que la fin du livre est pour le moins déconcertante, est-ce un fantasme de la part de Paul qui l'amène à imaginer qu'il tue d'une seule flèche celui qui vient de l'héberger durant plusieurs jours ? est-ce la réalité ? je me pose beaucoup de questions sans trouver de réponse. Étrange donc que la fin de ce livre...
 
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pangee | 2 outras críticas | Dec 5, 2019 |
Pourtant, je ne regrettais rien de cette vie qui n’avait pas l’air de grand-chose, mais qui me suffisait.
(p. 213, Chapitre 10, “L’avion, le tracteur et l’attente”).


Je me pique de ne pas laisser les prix littéraires influencer mes choix de lecture, mais je ne peux m’empêcher de m’intéresser aux livres qui sont ainsi couronnés tous les ans. Peu au fait de l’actualité de cette rentrée littéraire, je n’avais même pas entendu parler de ce livre, et j’en ai découvert le titre et le résumé dans l’article qui annonçait le vainqueur du Goncourt 2019. Un titre qui ne peut que m’attirer, et un résumé qui finit de me convaincre. Mais c’est un Goncourt, quand même, donc je ne peux m’empêcher d’éprouver quelques réticences. Passant « par hasard » dans ma librairie préférée le lendemain, je tourne autour du livre, le prends, le redépose, le reprends… Et une libraire de m’expliquer que beaucoup d’entre eux l’ont lu et l’ont aimé, pour des raisons différentes, mais l’ont aimé, qu’ils sont heureux que ce soit lui qui ait eu le Goncourt, pour une fois c’est un roman qui le mérite, et caetera, et caetera, qu’enfin il ne fallait pas que je m’empêche de le lire parce qu’il avait reçu le Goncourt (comme quoi, je ne suis pas la seule à éviter les prix littéraires ?). Bref, chat échaudé craint l’eau froide, mais je me suis tout de même laissée convaincre et, le soir même, je me lançais dans cette lecture pleine de promesses.
J’ai fini ce matin, enfin… 250 pages, mais quel pensum. Car oui, je me suis ennuyée tout du long, je n’ai trouvé aucun intérêt à ce livre, ni dans l’histoire sans relief, dans sa construction plutôt bancale (avec le suspens de la cause de la condamnation de notre narrateur, d’abord artificiel puis qui se lézarde rapidement), ni dans l’écriture d’une grande platitude elle aussi.
Et maintenant je me sens seule. Seule devant cette avalanche de critiques positives, qu’elle soit le fait du jury du Goncourt, des critiques professionnels (j’ai écouté ce matin, après avoir fini mon livre et avant d’écrire ces lignes, l’émission de France Culture, La Dispute, de jeudi dernier, qui revenait sur les prix de la saison et encensait le Goncourt), des libraires et du large lectorat déjà conquis. Comme parfois dans ces cas-là, je me demande s’il me manque quelque chose, de l’empathie, de la tendresse pour mon prochain, puisque ce livre est sensé en être l’expression. Suis-je donc un cœur sec que je ne peux apprécier ce bouquin ?
Ou est-ce parce que Jean-Paul Dubois est un journaliste, et plutôt bon si j’en crois le plaisir et l’intérêt que j’ai eu à lire [L’Amérique m’inquiète] (je m’étais aperçue de la similitude de nom, mais il m’a fallu vérifier pour en être sûre). La simplicité de son écriture serait alors plutôt de l’efficacité journalistique. L’indigence de l’histoire serait plutôt parce qu’il écrit sur un type de personne que sur un personnage en particulier (lu dans une interview : il voulait faire un roman sur un concierge et se demandait comment il pourrait tenir 250 pages là-dessus, alors lui est venue l’idée de le mettre dans une prison. Etrange motivation pour créer un personnage…). Et d’ailleurs, pourquoi 250 pages, il me semble que l’on ne définit pas la longueur d’un livre a priori, si ? C’est plus une attitude de journaliste, cela, qui sait de combien de lignes ou de signes il dispose. Et le journalisme ouvre bien des portes, il est plus facile probablement d’être publié, d’être lu et critiqué sur les grands médias lorsque l’on fait partie du sérail. Je me demande si, consciemment ou non, il n’y a pas un peu de cela dans l’enthousiasme que génère ce livre. Aurait-il passé le comité de lecture s’il avait été adressé simplement à un éditeur ?
J’arrête là mes hypothèses, sinon je vais passer pour une lectrice mesquine et aigrie, ce que je ne pense pas être. Mais c’est un fait que je suis complètement passée à côté de ce livre, qui m’a laissée indifférente, dont la lecture a été un pensum et que je me suis forcée à terminer pour lui donner sa chance jusqu’au bout. Tant pis pour moi, je suppose, mais je préfère maintenant retourner à des lectures plus stimulantes comme il en existe tant.
 
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raton-liseur | 7 outras críticas | Nov 13, 2019 |
Jubilatoire, cette lecture. Facile, je l’avoue. Mais jubilatoire.
On est ému aussi parfois, même si ce n’est pas nécessairement le propos. Par exemple lorsqu’il est question d’accompagner les gens dans la mort. Mais on aime être atterré par ces pauvres américains primaires, et Jean-Paul Dubois nous en donne pour notre argent. Le gouverneur de prison, notamment, est irrésistible.
Alors j’ai un peu honte de l’avouer parce que, vraiment, c’est de l’anti américanisme primaire et je n’en suis pas fière (et ça ne reflète d’ailleurs pas mon véritable sentiment face à ce pays, qu’on ne peut réduire à une caricature). J’ai honte, mais j’ai bien pesté contre ces bons gros américains incultes et je me suis bien amusée (ne faisant là pas preuve de beaucoup plus de finesse que ces bons gros américains incultes, je vous le concède).
 
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raton-liseur | Jan 7, 2019 |
 
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guyotvillois | 6 outras críticas | Oct 15, 2018 |
Très belle écriture pour ce livre bouleversant, sur bien des points. A recommander, même aux âmes sensibles.
 
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pangee | 1 outra crítica | Jun 1, 2018 |
« Une vie française » nous plonge dans l’existence de Paul Blick, depuis son enfance jusqu’à l’aube de ses 60 ans. La description de cette vie somme toute ordinaire prend du relief en s’inscrivant dans une frise chronologique marquée par les présidences de la république successives. Ce choix narratif n’est ni accessoire ni anodin puisque Jean-Paul Dubois se livre à une radiographie de la société française sur une période de 50 ans, de 1950 à 2000 environ. L’écriture est tonique et fluide, le ton souvent juste, particulièrement dans la phase adulte et la vie maritale du protagoniste.
La première partie consacrée à l’enfance, marquée par la disparition aussi brutale que douloureuse du frère de Paul, tient à illustrer la vie sage et souvent rigide des familles avant le soulèvement de 68, les mœurs corsetées où l’ennui et les faux-semblants dominent. La description de l’adolescence et du jeune âge adulte est l’occasion de délires masturbatoires –empruntant beaucoup à Philip Roth, mais la référence est heureusement confessée par l’auteur– et de découverte sexuelle pour ce personnage projeté au beau milieu d’une époque de libération explosive des codes et de transgression des limites.
Cette période de fièvre sociale éphémère et de révolution en grande partie ratée est aussi celle des années étudiantes de Paul, de la naissance de sa conscience politique, à l’heure de la contestation où l’on voudrait croire qu’il est interdit d’interdire.
« Il n’y a pas d’amour heureux », semble vouloir nous dire ce livre dans lequel le sentiment amoureux n’est jamais consubstantiel au bonheur. L’amour de Paul le conduit au mariage –malgré lui puisque la famille de la femme qu’il aime ne peut envisager les choses autrement– puis rapidement à la routine, l’indifférence, la fuite et la désillusion. Autant l’éveil sexuel était flamboyant, autant le réveil de l’amour est triste et sans espoir. Les rôles généralement attribués aux couples des années 70 sont inversés. Tandis qu’Anna, la femme de Paul, passe le plus clair de son temps à développer son entreprise et à planifier des plans d’enrichissement et de licenciement, Paul –homme doux, pacifique et n’ayant d’autres ambitions que de vivre en fonction de ses valeurs gauchistes et humanistes– élève avec dévotion leurs deux enfants, tout en s’acquittant des tâches domestiques. L’occasion de décrire une période post-soixante-huitarde qui ne perd pas de temps pour aiguiser les couteaux d’une société qui s’enferrera peu à peu dans des préoccupations économiques, pécuniaires, consuméristes… et glaciales. Ce monde-là, Paul se contente de l’observer, impuissant et en marge des appétits pour le pouvoir et le « succès ». Pourtant, le succès, il le rencontrera un temps et par hasard, après avoir parcouru le monde pour photographier des arbres qui semblent être les seuls à s’adresser véritablement à lui.
La folie de ce monde qu’il continue à décrire et qu’il comprend de moins en moins est finalement symbolisée par la maladie psychiatrique de sa fille Marie qui ne peut plus communiquer avec l’extérieur. Paul, qui aura été si attentif aux autres en élevant ses enfants puis en accompagnant les dernières années de la vie de sa mère, se retrouve irrémédiablement seul. Seule la naissance d’un petit-fils paraît donner du sens à sa vie et lui procurer une petite promesse d’avenir.
Car à mesure que les décennies s’enchaînent, la légèreté du livre évolue peu à peu vers quelque chose de beaucoup plus sombre et de tragique, où la mort rôde sans cesse, où la solitude et l’isolement règnent en maître. Ce roman, plus profond que la fausse comédie qu'il tâche de jouer auprès du lecteur dans sa première moitié, est un texte doux-amer propre à donner la gueule de bois. Celle que l'on éprouve après une révolution ratée.
 
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biche1968 | 6 outras críticas | Jan 11, 2018 |
Quel bonheur de retrouver le personnage récurrent de Jean-Paul Dubois qui s'incarne ici en un médecin décrocheur du nom de Paul Katrakilis qui vit à Miami sa passion pour la Cesta Punta. Paul appartient à une famille dysfonctionnelle. Il en devient le dernier membre vivant après le suicide quelque peu insolite d'Adrian, son père, médecin également. C'est cet événement qui le ramènera à contrecoeur dans la maison familiale et son Toulouse natal. De là émergeront de nouvelles réflexions sur sa vie, sur son parcours, sur les êtres qu'il a côtoyés, sur l'ombre qui plane sur sa famille. Il portera encore un regard désabusé sur la vie et sur ses contemporains. C'est ce regard mélancolique de Dubois qu'on retrouve avec sourire dans les pensées de Katrakilis.

La prose de Dubois me séduit encore et toujours.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2017/01/la-succession-jean-paul-dubois.html]
 
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GIEL | 1 outra crítica | Feb 20, 2017 |
J'aime bien l'écriture de Dubois. J'aime bien sa manière de décrire la difficulté de vivre. J'ai lu ce roman de Dubois alors que je me dirigeais vers Bordeaux. Le personnage principal faisait le trajet inverse en quittant Toulouse pour Miami Beach. J'allais voir mon fils installé à Bordeaux. Le personnage de Dubois allait retrouvé son père à Miami Beach. La vie lui fait peur. La vie et le travail que cela suppose restent ardus pour Paul Siegelman. La vie et les relations humaines constituent des moments difficiles. La vie et ses objectifs projettent quelque chose dont la conciliation n'est pas simple. Mais, Paul Siegelman s'en sortira ... en s'assoyant sur une tondeuse.
[http://rivesderives.blogspot.ca/2016/03/la-vie-me-fait-peur-jean-paul-dubois.html]
 
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GIEL | Apr 20, 2016 |
 
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bibliobarnabe | 6 outras críticas | Jul 5, 2015 |
«Et ma mère tomba à genoux.» [J.-P.D.]

Un parcours français à travers les yeux et le vécu de Paul Blick. De la découverte adolescente de la sexualité aux années militantes, du cheminement du couple aux aléas parentaux, des responsabilités filiales à celles du grand-père. On découvre la France et ses troubles, l'homme et son évolution marqué par la société changeante. La dernière phrase m'a frappé de plein fouet. J'ai aimé.

«Cela ne m'étonnerait pas : la vie n'était rien d'autre que ce filament illusoire qui nous reliait aux autres et nous donnait à croire que, le temps d'une existence que nous pensions essentielle, nous étions simplement quelque chose plutôt que rien.» [J.-P.D.]

[ http://rivesderives.blogspot.ca/2014/08/une-vie-francaise-jean-paul-dubois.html ]
 
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GIEL | 6 outras críticas | Dec 18, 2014 |
Een boeiende tragikomedie die de levensloop schetst van een Franse man, geboren in de jaren vijftig van de vorige eeuw. Door dit verhaal worden de sociaal-politieke ontwikkelingen van zijn tijd geweven. Soms ontroerend, vaak hilarisch, doordrenkt van de heersende tijdsgeest en altijd meeslepend. Op het einde van de roman neemt de tragiek het over van de ironie.
 
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PatrickDeruytter | 6 outras críticas | Aug 23, 2014 |
Ein schönes Buch, wenn man sich erst einmal daran gewöhnt hat, dass die Geschichte in Abschnitten teilweise von hinten nach vorne geschrieben ist. Mir fiel das am Anfang etwas schwer, den Zeitsprüngen zu folgen.
Etwas irritiert hat mich auch der Schluß, von dem ich mir gewünscht habe, er hätte noch etwas auf sich warten lassen und man hätte erfahren, wie Barbara die Hauptfigur, weitergelebt hat.
Ein netter historischer Jugendroman für zwischen durch.
Vive la France!½
 
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Bibliokatze | 2 outras críticas | Dec 12, 2013 |
J'ai du mal à parler de ce livre. Pourtant je l'ai beaucoup aimé. Peut-être que mon manque d'inspiration est lié à son sujet, diffus et finalement assez commun. Il met en scène une famille qui s'est fissurée et est prête a éclater. En fait, le coeur a déjà éclaté mais une fine couche à la surface permet de la maintenir à flot. Les enfants sont grands (une fille et deux fils, des jumeaux) et la famille n'est désormais composée que d'adultes qui n'ont plus grand chose en commun — je dirais même que tout oppose. Le plus atteint de tous est incontestablement le père — disons que c'est lui qui supporte le plus difficilement le poids de cette situation. Depuis un pétage de plomb mémorable en public, cet écrivain n'a plus écrit une ligne et navigue entre neurasthénie et folie pure.

En relisant ce que je viens d'écrire, j'ai peur qu'il y ait une incompréhension. Ce livre ne peu raisonnablement pas être qualifié de drame tant il sait s'avérer drôle et dans tous les cas délicieusement caustique et absolument cynique. On est plus chez un David Lodge trash que chez Faulkner. L'exercice est d'ailleurs réussi car sous cette caricature apparaissent clairement de vraies problématiques de notre société. Il est donc possible d'initier une réflexion plus profonde sans se prendre au sérieux.

J'ai passé un excellent moment, j'ai vraiment adoré le cynisme de ce livre et l'humour qui va avec. Porté à un tel niveau il devient un art jubilatoire. Mais vous me direz : que vient faire Kennedy dans toute cette histoire ?. Eh bien, je vous laisse le découvrir. http://www.aubonroman.com/2012/11/kennedy-et-moi-par-jean-paul-dubois.html
 
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yokai | Nov 2, 2012 |
Un bijou que ce récit de la double, voire triple chute de Paul Sneijder, celle qu'il a vécu dans un ascenseur, celle de sa vie sociale et celle qui l'amèneront de petites lâchetés en accommodements petit à petit vers sa perte.

Ce ne sont pas que les renoncements de Sneijder que Dubois démonte en même temps que les ascenseurs, dans ce livre à la fois drôle, grave et féroce, ce sont les nôtres aussi bien sûr, ceux de la vie urbaine, où toute honte bue nous nous entassons dans une verticalité qui nous fait perdre notre humanité.½
 
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domguyane | 2 outras críticas | Oct 21, 2012 |
C'est un livre que j'ai bien aimé, je conseille on ecriture. C'est la histoire d'une vie tipiquement francaise, raconté par le personnage principel du livre.
 
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Durbi | 6 outras críticas | Jun 4, 2012 |
De doodzieke Hasselbank besluit zijn van hem weggelopen echtgenote op te sporen en belandt daardoor in het hoge noorden van Canada. Aanvankelijk laat het spoor zich volgen doch allengs verhaalt het boek meer over toevallige ontmoetingen, waarvan die met ‘de man uit één stuk’ Floyd Paterson wel de belangrijkste blijkt te zijn.

Qua thematiek allemaal niet erg origineel, ware het niet dat met name het tweede deel van de roman het verhaal naar een hoog niveau tilt. De beschrijvingen van de wrede, maar ook zo schitterende natuur zijn imponerend. Wanneer de doodzieke Hasselbank een noodgedwongen verblijf in het huis van Paterson moet doormaken wordt hij door deze meer dan liefdevol verzorgd en dat levert prachtige beschrijvingen op.
Uiteindelijk komt het verhaal op een verassende wijze aan z’n eind.

In al zijn beknoptheid is dit een roman die op geen enkel moment verveelde, met vaart geschreven en spannend bovendien. De personages komen -zelfs wanneer zij met vluchtige pennenstreken worden getekend- voldoende tot leven.
Zijn eerste boek ‘ Een Frans leven’ was voor mij aanleiding ook dit boek van Dubois te kopen, zowel bij het eerste- als het tweede boek ben ik niet teleurgesteld. Integendeel.
 
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deklerk | 2 outras críticas | Jan 29, 2010 |