Marlo MorganCríticas

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Marlo Morgan no tenía edad ni talante de aventurera, pero la realidad se le impuso con esa fuerza y ese poder que suelen transmitirnos las grandes experiencias. Así fue como vivió una odisea fascinante: un viaje a pie por el desierto australiano en compañía de una tribu de aborígenes cuyas normas de convivencia nada tienen en común con las nuestras. Al coraje que demostró afrontando las penalidades del viaje, se sumó luego el esfuerzo de transmitir sus vivencias en esta novela, que pocos meses después de haber sido editada por cuenta y riesgo de su autora se convirtió en un extraordinario Best-séller internacinal.

Las Voces del Desierto explica la historia de una doctora estadounidense que es invitada por una tribu aborigen de Australia a acompañarlos en su walkabout, un viaje de aprendizaje por el desierto. Despojarse de sus ropas y bienes materiales le lleva tan solo unos minutos, pero desprenderse de creencias y prejuicios le llevará un poco más.

A fictional account of the spiritual odyssey of an American woman who accompanies an Aboriginal tribe on a walkabout in the Australian outback.

I do not like her style of writing. I liked what she wrote about. This book is Free To Good Home if anyone wants it. I've gotten everything out of it I'm going to.

Hoax. Do not read. Search online and see for yourself.

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Morgan-Message-des-hommes-vrais-au-monde-mutant/1...

> UN TRAITÉ SUR LE PAGANISME. — Peut m'importe si cette histoire est vraie ou non. J'ai lu dans les commentaires 1
étoiles que l'auteur s'était prise un procès et qu'elle avait admise le faussaire. Là
n'est pas l'important, il est dans le fait que ce livre est une morale païenne… (Oribase)
—le 2 mai 2015 (Sur Amazon) 3/5

> MESSAGE DES HOMMES VRAIS (au monde mutant), Mario Morgan, éd. Albin Michel. — C’est le livre de l’année. Un document d’une valeur considérable (je pèse mes mots).
Les mutants, c’est nous, hommes modernes, riches ou pauvres, mais tous matérialistes quoi que nous prétendions, qui peuplons peu à peu la totalité de la planète. Le vrai peuple, ce sont les derniers descendants des humains des origines, du temps où l’homme vivait encore en pleine symbiose avec la nature - quasiment nu, en prise directe avec les éléments, et pourtant déjà totalement humain. Or le Vrai Peuple va nous laisser seuls, face à nos responsabilités. Nous avons systématiquement méprisé ses croyances, kidnappé ses enfants, ignoré sa sagesse, saccagé les terres où il vivait depuis des millénaires… et pourtant il ne nous juge pas, il prie pour nous. Pour qu’à notre tour nous menions à bien notre mission, assumions notre responsabilité planétaire…
Attention, Message des hommes vrais (au monde mutant) n’est pas un traité idéologique barbant. Ça se lit comme un roman. D’une certaine façon, c’est un roman - dont tous les faits se seraient réellement déroulés il y a quelques années en Australie. Une Américaine nommée Mario Morgan croyait être allée là-bas pour instituer un nouveau programme éducatif. La vraie raison de son voyage lui échappait. Elle l’apprit d’abord presque à son corps défendant : partie rendre visite à une tribu d’Aborigènes, pour une « belle journée dans le bush », elle se retrouve « invitée » à marcher pendant trois mois à travers l’immense désert… pieds nus et revêtue d’une simple tunique !
Aventure initiatique fabuleuse. Très éprouvante d’abord - essayez de courir pieds nus, ne fût-ce qu’une heure, dans un désert épineux ! Mais tout de suite, un tel enchantement éclaire cette épreuve (dès le premier soir, une ancienne vient masser les pieds blessés en « leur chantant une berceuse » incroyablement soulageante), qu’avant même d’avoir compris ce qui lui arrivait, Mario Morgan se retrouve partie prenante d’une vision radicalement différente du monde et du temps : le « temps du rêve », qui vous ancre paradoxalement beaucoup plus profond dans le réel que le « temps techno » soi-disant réaliste. On a beaucoup parlé du « temps du rêve aborigène » ces dernières années, mais combien d’entre nous y ont vraiment basculé ? Mario Morgan l’a fait. En trois mois de marche (trois lunes), elle a reçu un enseignement complet dont l’essentiel, me semble-t-il, tient en peu de mots : les Hommes Vrais vivent dans la jubilation d’être. Ils ne connaissent pas la peur (qu’ils considèrent comme le propre de l’animal), alors que l’homme moderne en est rempli parce qu’il n’écoute plus sa voix intérieure, ni celle de la Terre, ni celle des esprits des ancêtres, et parce qu’il accumule d’absurdes propriétés matérielles, sans voir qu’elles le condamnent à une peur de plus en plus grande.
Mais l’homme moderne s’appelle aussi « mutant » et, dans sa mutation, gisent encore toutes les possibilités de métamorphose bénéfique. Avant de nous quitter, ces Aborigènes, voix qui représentent cinquante mille ans de sagesse humaine, nous adressent un vibrant salut et leur profonde bénédiction. Soyons reconnaissants. Et vigilants ! (Patrice VAN EERSEL)
—Nouvelles Clés, (6), Été 1995, (p. 72)

> Cette femme américaine nous relate sa rencontre bouleversante avec des aborigènes australiens, dont elle a tout découvert de la vie simple et naturelle. Ils lui ont appris l'usage de ses sens, l'utilisation des plantes qui guérissent, la relation avec les animaux, et un enseignement spirituel de grande envergure, issu de l'observation de la nature, transmis depuis de nombreuses générations, mais très actuel, comme par exemple le concept d'unité divine. (Revue Shakti)

> MESSAGE DES HOMMES VRAIS AU MONDE MUTANT, de Marlo Morgan - Ed. Albin Michel. — Peu importe au fond que l’histoire contée par Marlo Morgan soit totalement vraie, comme elle le prétend, ou partiellement romancée, ce qui est sans doute le cas. L’essentiel est qu’elle véhicule une sagesse en provenance des Aborigènes d’Australie qui, nous le savons, est profondément authentique. Au-delà des aspects fantastiques de cette aventure (savoir guérir des pieds blessés, par exemple, en leur chantant une petite chanson appropriée), tout se passe comme si les derniers représentants de cette culture vieille de plusieurs dizaines de milliers d’années, nous disaient, à nous, humains modernes passablement azimutés : “ Nous vous confions la Terre, les amis. N’oubliez pas, au moins deux choses : 1°) la pire attitude est d’avoir peur, 2°) la peur est proportionnelle à l’avoir : plus vous possédez, plus vous irez mal. Allez, bonne chance ! ”

- Voir aussi sur le même thème : Comment prendre la vie du bon côté ?

*Source: Nouvelles Clés

A fin de transmitir sus vivencias, Marlo Morgan editó por su cuenta y riesgo esta novela que, meses después de ver la luz, se convirtió en un extraordinario best seller internacional.Marlo Morgan no tenía edad ni talante de aventura, pero la realidad se le impuso con la fuerza y el poder que suelen trasmitirnos las grandes experiencias. Así fue como vivió una odisea fascinante:un viaje a pie por el desierto australiano en compañía de una tribu de aborígenes cuyas leyes de convivencia nada tienen en común con las nuestras.El aprendizaje fue duro, pues a lo largo de esa extraña peregrinación tuvo que desprenderse de sus antiguos hábitos y aprender distintas formas de comer, de caminar y de comunicarse para poder gozar, al fin, de una auténtica comunión con la naturaleza y con esa parte de su cuerpo y su mente que ella misma desconocía

Starts out pure-being-in-balance, becomes a little preachy. Overall a worthwhile read.
[read 2001-18 yr ago]½

LAS VOCES DEL DESIERTO

Marlo Morgan no tenía edad ni talante de aventurera,
pero la realidad se le impuso con esa fuerza y ese poder
que suelen transmitirmos las grandes experiencias. Ast
fue como la autora vivió una odisea fascinante: un viaje
a pie por el desierto australiano en compañía de una tribu
de aborígenes cuyas leyes de convivencia nada tienen en
común con las nuestras.

El aprendizaje fue duro, pues a
lo largo de esta extraña peregrinación la mujer tuvo que
desprenderse de sus antiguos hábitos para aprender
distintas formas de comer, de caminar y de comunicarse
para poder gozar al fin de una auténtica comunión con la
naturaleza y con esa parte de su cuerpo y su mente que
ella misma desconocía. Al coraje que demostró afrontando
las penalidades del viaje, se sumó luego el esfuerzo de
resumir las vivencias en esta obra que al principio tuvo
que editar por su cuenta y riesgo. Ahora, transcurridos
pocos meses desde su aparición, Las voces del desierto se
ha convertido en un auténtico best-seller, y la voz de
Marlo Morgan sirve de guía a miles de personas en busca
de un nuevo camino hacia la espiritualidad.

Kurzmeinung

Genre: Roman, fiktiv
Handlung: Von den “Wahren Menschen”, einem eigenen Aborigine-Stamm, in die Wüste Australiens entführt, lernt die Protagonistin viel über sich selbst, den Zusammenhalt untereinander, das Leben zu schätzen, zu helfen und erfährt auch eine gewisse Spiritualität. Sie lernt materielle Dinge loszulassen aber auch Gedanken, Ängsten, Wut sowie anderen Emotionen. Dadurch erfährt sie Selbstliebe, Stärke und ein größeres Selbstbewusstsein.
Charaktere: Die Autorin stellt sich als Protagonistin dar. Der erfundene Aborigine-Stamm der “Wahren Menschen” ist so wundervoll charakterisiert, sodass man glauben möchte, es gäbe ihn wirklich. Ich wünschte mir, sie würden mich entführen und mich damit zu meinem inneren Kern führen.
Spannung: Ich empfand das Buch als sehr aufregend. Ich war sehr gespannt zu erfahren, was der Grund für die “Entführung” war, was die Protagonistin alles erleben würde, welche Geheimnisse sich noch auftun könnten. Die beschriebene Lebensart und -einstellung der “Wahren Menschen” fand ich absolut faszinierend.
Schreibstil: Der Schreibstil ist der Geschichte angepasst, direkt und einfach. Eine schöne Erzählung, die ich gerne gelesen habe.
Ende: Das Buch bringt Hoffnung und zeigt auf, dass Änderung und Veränderung möglich ist; auch im Alltag. Obwohl mich der Abschluss des Buches nicht ganz so überzeugen konnte, wird mir dieses Buch noch sehr lange in Erinnerung bleiben. Ganz sicher werde ich es irgendwann noch einmal lesen.

Hörbuch: Als Hörbuch einfach grandios! Man kann sich zurücklehnen und genießen. Die Augen schließen und mit dem inneren Auge der Wanderung mit den Aborigines folgen. Ich habe sogar die Teile, die ich als Hörbuch hörte noch mehr genossen, als das eigene Lesen des Taschenbuchs. Ursula Illert schafft es mit ihrer sanften Stimme, dass man an das Märchen von den “Wahren Menschen” glauben möchte.
Fazit: Ursprünglich dachte auch ich, dass dieser Roman auf einer wahren Begebenheit beruht. Dass die Autorin diese Reise, diese auch spirituelle Wanderung mit den Aborigines erlebt und in Romanform niedergeschrieben hat. Im Laufe der Zeit, der Jahre, die das Buch auf meinem SuB (Stapel ungelesener Bücher) lag, habe auch ich mitbekommen, dass Marlo Morgan 1996 zugegeben hatte, dass sie die ganze Geschichte erfunden hatte. Und neben der Enttäuschung, bin ich dennoch von der Geschichte begeistert! Wie sehr wünschte ich mir, sie wäre wahr! Nichtsdestotrotz brachte sie mich zum Nachdenken und zum In-mich-kehren, vieles zu überdenken und mehr das Positive zu sehen. Ich zolle der Autorin Bewunderung, wie sie es einige Jahre geschafft hatte, dass viele glaubten, die Geschichte wäre ihre eigene. Ob sie nun dazu gedrängt worden ist die Wahrheit zu sagen oder auch nicht, macht für mich das Buch nicht weniger gut und bewundernswert. Ein tolles Buch für Leser, die der Spiritualität oder auch Esoterik nicht abgeneigt sind. Die gerne neue Gedanken zulassen und bereit sind, etwas anderes als das Bekannte als wahre Möglichkeit anzuerkennen. Für alle, die gerne die Aborigines und Australien durch Marlo Morgans Augen sehen und erleben wollen.

LAS VOCES DEL DESIERTO

Marlo Morgan no tenía edad ni talante de aventurera, pero la realidad se le impuso con esa fuerza y ese poder que suelen transmitirnos las grandes experiencias. Así fue como la autora vivió una odisea fascinante: un viaje a pie por el desierto australiano en compañía de una tribu de aborígenes cuyas leyes de convivencia nada tienen en común con las nuestras. El aprendizaje fue duro, pues a lo largo de esta extraña peregrinación la autora tuvo que desprenderse de sus antiguos hábitos para poder gozar al fin de una auténtica comunicación con la naturaleza, con esa parte de su cuerpo y de su mente que ella misma deconocía. Al coraje que demostró afrontando las penalidades del viaje, se sumó luego el esfuerzo de resumir las vivencias en esta obra. verdad es que el libro entero es una lección en toda regla para la sociedad en la que vivimos, tan competitiva, tan dormida, con un ritmo tan frenético; y sería aún mayor si la historia relatada fuera verídica… pero parece que hay cierta polémica al respecto, a pesar de que la autora lo vende como algo que realmente le sucedió.
Trocitos hay muy buenos, y me imagino que cada uno eligiría uno diferente dependiendo de su forma de ser, pensar… o incluso del momento. A mí me gusta mucho el que a continuación muestro, quizás porque relata muy bien uno de mis principios para vivir: no hay nada bueno ni malo. Todo tiene las dos caras de la moneda.
Lo que a continuación voy a transcribir son las palabras que uno de los aborígenes le dirige a Marlo cuando ésta se encuentra desesperada por los enjambres de moscas que llenan el aire, los oídos, las narices, los ojos… y el resto del cuerpo. Marlo dice al respecto:
" Llegué a comprender perfectamente que una persona cubierta por millones de patas de insectos en movimieno pudiera volverse loca.
Esto es lo que le dice el jefe Cisne Negro Real a la protagonista:
Mira, todo en la Unidad tiene un propósito. No hay monstruos, inadaptados ni accidentes. Sólo hay cosas que los seres humanos no comprenden. Tú crees que las moscas son malas, son un infierno, así que para ti lo son, pero sólo porque te faltan entendimiento y sabiduría. Lo cierto es que son criaturas necesarias y beneficiosas. Se meten en nuestras orejas y nos limpian la cera y la arena que tenemos después de dormir cada noche. "
Sobre la autora:
Marlo Morgan nació en Iowa. Estudió en la St. Agnes High School, en el Barstow Community College de la Universidad de Missouri, y en el Cleveland Chiropractic College, donde se doctoró en bioquímica y en medicina oriental. Se trasladó a Kansas City, Missouri, donde contrajo matrimonio y tuvo dos hijos. Tras 25 años de matrimonio se divorció, abandonó la carrera médica e inició su carrera como escritora.
MarcarFundacionRosacruz | Dec 21, 2017 | edit |

I read this in high school and found it fascinating, but I've since learned that the author made it all up. When confronted by indigenous Australians, Morgan admitted publicly that she faked the whole thing. If she had marketed it as fiction, that would be one thing (still highly inaccurate, of course), but faking it it really unethical and an insult to real Australian Aboriginal groups. Shame on you, Marlo Morgan!

I do not like her style of writing. I liked what she wrote about. This book is Free To Good Home if anyone wants it. I've gotten everything out of it I'm going to.

Un thème intéressant mais que j'ai trouvé malheureusement pas assez crédible dans son approche. Une femme américaine, Marlo Morgan, part à la découverte d'une tribu d'Aborigènes et va en ressortir transformée. Certes on y découvre des choses passionnantes nous aussi en tant que lecteurs, et nous nous rendons compte à quel point notre société moderne s'est éloignée de notre vraie nature en nous enfouissant dans le matériel, les soucis, les tracas, la négativité, et tout ce qui en découle tels que les soucis de santé, le stress, la déconnexion d'avec le monde sensible. Mais le récit fait un naïf et c'est un peu lourd à la lecture.

The fictional account of Morgan - an american woman, who sets foot on a journey with the "Real People" through the Outback. Along this journey, she faces daily tests of endurance; learns to celebrate own's uniqueness and inner spirit; witnesses powerful healing methods; and comes to understand the awareness of being alive is profoundly meaningful.

One woman goes on a walkabout with an Aboriginal tribe. To this day, two things stick in my mind: when she has her period, she collects it in a leaf tube; and when she returns to "civilization" many months later, she has to literally cut off inches of calluses from her feet.

Em viagem à Austrália para conhecer o sistema de saúde daquele país, Marlo Morgan vivenciou aos 50 anos uma experiência que a modificou profundamente. O resultado foi um best-seller com mais de 600 mil exemplares vendidos somente nos Estados Unidos. “Mensagem do outro lado do mundo” revela como uma médica americana de meia-idade transformou um inofensivo almoço com aborígenes australianos em quatro meses de peregrinação por 1.400 milhas, iniciações, segredos e rituais – sendo que num deles a neófita foi enterrada até o pescoço para limpeza do lixo ocidental. Marlo narra sua experiência pessoal com entusiasmo e verdade, sem cair num tom doutrinário ou dogmático. Ela considera-se uma mensageira mutante, disposta a lutar pelo meio ambiente e salvar o espírito da Terra. O relato da autora mostra que a jornada exterior e o processo de iniciação esotérico (interior) reúnem-se num exercício de autoconhecimento, também presente na filosofia aborígene. O resultado final é uma pequena mostra da visão holística, com um toque de magia, aventura, humor e consciência ecológica.

The follow up to 'Mutant Message Down Under'.

Un viaje a pie por eld esierto australiano en compañia de una tribu de aborígenes cuyas leyes de convivencia nada tienen en comun con las nuestras.

would have enjoyed it if I knew it was fiction; what does author have to say after all these years?

Dit boek is fictie.

A shameless slap in the face of both Aboriginal Australians and readers of the book. I read it before the truth about it was revealed. When I discovered that truth I threw the book in the rubbish bin where it belongs.½

I read this in high school and found it fascinating, but I've since learned that the author made it all up. When confronted by indigenous Australians, Morgan admitted publicly that she faked the whole thing. If she had marketed it as fiction, that would be one thing (still highly inaccurate, of course), but faking it it really unethical and an insult to real Australian Aboriginal groups. Shame on you, Marlo Morgan!

Un po' lento!Non mi ha appassionato!Non vedevo l'ora di finirlo perchè non ce la facevo più!