First book in the "The Braided Path" trilogy.

Here the fantasy empire ruling the land of Saramyr has an oriental flavour, a level of technology that allows rifles and bombs and a communications system relying on magic--the sorcery of the dreaded, masked Weavers.

By manipulating the magical Weave of the world, a kind of fantasy cyberspace, Weavers can not only send messages over any distance but manipulate minds, fight intangibly and kill. The use of the Weaving, and their masks, makes the weavers eccentric and mad and have revolting habits such as raping and killing small children. All other forms of magic talent are denounced as Aberrant and the talent-owners condemned to death.

Rebellion brews among the Empire's people and powerful noble factions when it emerges that the Heir-Empress Lucia is Aberrant, with gentle powers of communication with birds and earth-spirits. Meanwhile another girl, Kaiku, is orphaned when her family is both poisoned by an unknown hand and attacked by "shin-shin" demons. Kaiku soon finds that she herself is dangerously Aberrant, apt to send out waves of uncontrollable fire.

Kaiku makes a quixotic journey with unusual companions, and, by use of the mask that is her sole inheritance, enters a protected place to discover the grim secret of what's slowly poisoning the land. It is not, as the Weavers insist, the existence of Aberrants but rather the weavers themselves.

Kaiku and her friends join the Red Order, a sisterhood of trained Aberrants, in a desperate effort to save Lucia from the general bloodshed of the inevitable Imperial coup. Many characters fail to survive for the backlash expected in volume two.

Pretty enjoyable fare, and certainly one I intend to seek out the sequel(s) to ( )

The world building was pretty cool and the writing wasn't bad, the plot was pretty interesting but the characters were really flat and forgettable. The bad guys had some disturbing habits that involved children so that was kind of shocking. If I was young and had a lot of free time I would definitely read this but I'm old and don't have time to waste on "average" books. Plus this is the start of a trilogy so I was worried about putting the effort in and then not being satisfied in the end.

Made it 130 pages in but now giving up. ( )

« Le royaume de Saramyr : La croisée des chemins » de Chris Wooding en format poche (Pocket Fantasy). Il semble qu’il porte un titre différent en grand format (Fleuve Noir – Rendez Vous Ailleurs) : « les tisserands de Saramyr » à la place de « le royaume de Saramyr », ça vous aidera peut-être si vous préférez collectionner les bouquins à ce format-là…Le royaume de Saramyr : La croisée des chemins de Chris Wooding Le contexte et l’histoire sans trop en révéler. C’est un univers médiéval-fantastique qui se veut japonisant mais pas trop : il y a un système féodal qui y ressemble vaguement (mais avec des noms différents : barak à la place de daimyo, etc.

), une étiquette draconienne, des moines qui font un peu penser aux shintoïstes, un climat estival caniculaire et des maisons avec des paravents mais c’est à peu près tout. Sachant que j’ai acheté le bouquin pour sa prétendue ambiance japonisante, je n’ai pas trouvé ce que je cherchais. Mais ce n’est pas grave…Les familles nobles (ou riches) ont acquis (et gardent) leur pouvoir grâce à une alliance avec une mystérieuse caste, les tisserands. Ce sont des personnes qui tirent divers pouvoirs du mystérieux masque dont ils ne se séparent jamais : ils ont la capacité de communiquer à distance, d’espionner à travers une sorte de dimension parallèle, etc. En contrepartie, quand ils émergent de leur voyage dimensionnel, ils sont assaillis par une irrésistible et meurtrière vague de colère , leurs employeurs doivent donc les laisser se défouler selon leur bon vouloir et fermer les yeux devant telles débauches pour profiter de leurs précieux pouvoirs.

Outre le service envers leurs riches employeurs, les tisserands ont un hobby : traquer et éliminer ce que la population appelle les aberrants, ce sont des enfants qui développent des malformations et/ou des pouvoirs magiques. Ce bouquin relate les aventures de 2 de ces aberrants : d’un côté, Kaiku, une fille de nobliau, qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui fait tout pour découvrir les tenants et aboutissants de la chute de sa famille. De l’autre côté, il y a Lucia, l’unique héritière de l’impératrice de Saramyr dont la future montée sur le trône impérial déplairait à la majorité du royaume. Je m’arrête là pour l’histoire même si on se doute que, bien sûr, tout est lié…Mon avis à moi : Il y a un arrière-gout assez prononcé qui rappelle l’œuvre de Pierre Bordage, « les guerriers du silence » dans laquelle d’innocents mystiques (ou futurs mystiques) se retrouvent traqués par une caste d’autres (affreux) mystiques, les scaythes, qui en parallèle complotent pour prendre le contrôle/détruire l’univers tout entier. Sans prendre trop de risques, je parie que la suite de cette saga y ressemblera beaucoup. On va dire que ce n’est pas le pillage, ni vu ni connu, d’une œuvre française par un anglais mais plutôt un exercice de style, un hommage. On y croit…Bon, après, il faut s’intéresser au traitement du sujet. Ca ne casse pas des briques non plus. Comme je l’ai expliqué en haut, l’ambiance japonisante n’est qu’un leurre, ça me fait plus penser à une mise en scène d’occidentaux déguisés en orientaux. L’habit ne fait pas le moine comme on dit. Ce qui m’a déplu au niveau du décorum, du monde dans lequel les protagonistes évoluent, c’est qu’il est peu décris. Malgré la carte au début du bouquin (pour faire comme les autres auteurs de fantasy ?), ce monde est creux, lisse, il n’y a pas de vie sans les protagonistes.

L’autre mauvais point, c’est que j’ai eu l’impression que l’auteur s’est dépêché d’enchainer les évènements après avoir mis du temps à nous avoir fait miroiter leur éventualité ou nous jeter des personnages dans le récit et les mettre en scène sans nous laisser le temps de nous familiariser avec eux. Rien de plus frustrant à mes yeux.

C’est donc déçu que j’ai clos ce bouquin qui pourtant fourmille d’idées originales à développer. Bon bien sûr, c’est le premier bouquin d’une saga et je vais me sentir obligé de lire la suite… ^^ ( )

Very solid start to a promising fantasy series. Pluses include the strong world-building, where the author appears to be drawing from Western, Middle Eastern and Asian history and mythology (and Asian horror, too, unless, I'm mis-reading the creepy shin-shin). He also has strong descriptive powers, and I really appreciated the preponderance of major female characters, not to mention his willingness to have bad things happen to good people in service of the plot and their journeys as characters (I have mixed feelings about some of the nasty violence itself, though). However, the characterisation itself is patchy - the seams certainly show here and there - and there are too many jumbled viewpoints. Having said this, I'm still definitely interested enough to seek out the second book in the series. ( )

I just couldn't maintain interest in this one. He switched a bit too often between viewpoints when only one of the characters really interested me. I slogged through, but it didn't do much for me. I'm willing to keep trying - I picked up the first couple of chapters of a later book and was instantly sold, so I'm hoping he gets better in the series. ( )